A day in the life of Kiyo ! || Libre

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Une lèvre fendue, le souffle court et la tendance à regarder dernière lui alors qu’il courait… Comment diable Kiyo avait bien pu se retrouver dans une situation pareille?! Je le reconnais, ceci est une question qui mérite une réponse, mais chaque chose en son temps, il ne suffit pas d’expliquer ce qui s’est passé pour bien comprendre, ou plutôt pour le comprendre comme Kiyo l’a vécu. Remontons un peu le fil de la journée pour bien visualiser ce qui l’a conduit à cet événement assez marquant, il faut bien l’admettre…

S’étant levé par un joli coup de pied aux fesses de la part de son père – quel gentil papa plein d’attentions, ne? – Kiyo avait ouvert les yeux ce matin-là pour rencontrer le regard autoritaire de son paternel. S’il y avait bien une chose que ce dernier détestait, c’était de devoir réveiller son fils le matin, mais comme Kiyo avait tendance à jeter contre le mur le moindre réveille-matin qui sonnait, il fallait avouer que l’investissement n’en valait pas la chandelle. Un coup de pied, c’était gratuit contrairement à un réveil par jour.
Alors donc, après ce si charmant réveil, Kiyosuke avait, vite fait, enfilé son uniforme, troquant la chemise pour un t-shirt comme il en avait l’habitude. Il avait beau essayer, les chemises, ce n’était pas son truc, mais alors là, pas du tout! Et puis, ce n’était pas comme s’il était le seul 3-D a avoir tendance à contourner la réglementation sur le port de l’uniforme.

Bref, ne nous éternisons pas sur ce point, le fait était que ce matin semblait à la base un matin comme les autres qu’il avait eus et probablement comme ceux qui suivraient. Ici n’est pas vraiment ce qui fit chavirer sa journée. Ni le trajet qu’il dû faire pour se rendre à l’école, tout comme la matinée passée à s’occuper du mieux qu’il le pouvait pour ne pas sombrer dans ce vilain sommeil qui l’appelait au loin alors que l’ennui était à ses portes.
Rien de bien exceptionnel n’arriva durant l’heure de repas non plus. Kiyo dû se battre pour ne pas se faire piquer sa bouffe, mais c’était très usuel, rien d’alarmant, Super Kiyo avait vaincu sans problème et avait pu manger.

Alors où était le problème? Oo
Mais on y vient, on y vient. Il se promenait, tout bête, en ville, après les cours, sans se préoccuper du monde. Il avait un rythme dans la tête et ne se gênait pas pour faire la chorégraphie absurde et improvisé qui allait avec. Le zigoto avait malencontreusement percuté un groupe de passant d’une autre école. Mais plutôt mourir que de l’admettre! *o*

-Il fallait faire attention de votre côté aussi nha!

Un large sourire fendu jusqu’aux oreilles. C’était sûrement le sourire qui était de trop. Sans aucun doute même, puisque ce pauvre sourire ce mangea un coup de poing après un « te fiche pas de nous connard ». La vie était moche. Pourquoi il avait fallu que ce type insupportable ait des amis? À n’y rien comprendre et ce n’était pas juste pour Kiyo qui n’avait pas ses amis à lui pour rentre le truc plus égalitaire. Pffffffff.
Il fallait donc employé la vieille ruse!!

-Oooh! Regardez-moi cette fille, elle presque nue ma parole!!

Aaaah les hommes, si prévisibles… Ils se retournèrent tous vers l’endroit pointé par Kiyo, qui, avec un petit rire avait ajouté :

-Baka!

Avant de fuir, poursuivit par ces types. Alors voilà le fond de l’histoire et voilà pourquoi Kiyo était en train de courir, la lèvre fendue, à regarder derrière lui alors qu’il avait pu mettre un peu de distance entre lui et ces ados en manque d’action…

« Ce matin un lapin a tué un chasseur… » Ce mignon petit air traînait dans l’esprit de notre charmante Kaori depuis son réveil. Elle se souvenait que sa mère avait pour habitude de lui chanter lorsqu’elle croisait un lapin, sous n’importe quelle forme, et à peine avait elle ouvert les yeux qu’une horde de lapins imaginaires lui avait sauté dessus, en fait c’était sa peluche qui avait atterrit devant ses prunelles pendant la nuit. Enfin voila, comme tous les matins, elle prit sa douche, se vêtit de son uniforme et de sa jupe, elle détestait mettre des jupes, elle trouvait que ça ne lui allait absolument pas, du coup elle tirait sans cesse sur son habit pour le faire redescendre. Le petit déjeuner se fit d’une rapidité époustouflante, elle avala son bol de lait cuq sec. Et ne faisant qu’un signe de main précipité à son père, elle claqua la porte d’entrée et courut jusqu’à la grille qui lui permettait d’emprunter sa rue. Elle fit trois pas, et au troisième, prenant une grande respira elle laissa échapper un long cri de soulagement, sa journée allait pouvoir commencer. Un long sourire s’afficha sur son visage, direction le lycée.

Elle s’y rendit telle une fleur heureuse de bourgeonner, trottinant jusqu’à l’établissement. Kao’ se calma, elle se devait d’être sérieuse en cours, pas en dehors mais au moins pendant. Elle fronça les sourcils et hop à peine venait elle de s’asseoir sur sa chaise que la cloche retentit et les longues heures de travail intellectuel, OMG, débutèrent. Ses neurones, pas vraiment en éveil le matin, mirent leur temps pour être tous en mode ON. Les problèmes de maths qui ont de quoi faire pété un cable et la littérature ancienne à mourir d’ennuie. C’était un merveilleux programme pour cette matinée. Et quand le carillon sonna pour annoncer que les heures de torture neuronialles étaient terminées, elle se laissa tomber sur sa table, faisant la morte … comme tous les matins, et la japonaise se doutait qu’elle embrasserait la porte de la classe, qui d’ailleurs avait été son premier baiser avant même que ‘lui’ ne le fasse, grande histoire d’amour c’est trop long à raconter, que le coin de table ne se gênerait pas pour lui bousiller le genoux et qu’elle essaierait de se faire une place parmi une troupe de fille qui au final lui sortirait l’habituelle : « Tu crains ! » Youpi ! Puis dans un élan d’énergie soudaine, montrant sa résurrection, Ho ange Kaori ! Bref, le début d’après midi démarra lui aussi, son cerveau déjà échauffé était soudainement plus efficace et les deux heures d’anglais passèrent à une vitesse fulgurante. Et son programme avait était validé, oui oui, la porte, le genou, ect, okay ! Elle pouvait rentrer chez elle … maiiis, il y a toujours le mais ! L’asiatique n’avais pas envie de terminer sa journée maintenant, quand elle rentrait elle avait l’impression que le temps se stoppait et que son âme l’attendait tous les mations à l’entrée de la demeure pour revenir en elle. Doonc, elle se promènerait, t’façon elle avait un truc à acheter, ‘fin elle croit… ouais, nan… ‘Fin on s’en fout !

Alors joyeusement, trottinant un peu avec son sac qu’elle fit atterrir derrière son dos, elle se rendit en centre ville. Là bas, il y avait de tout ! Et surtout de quoi ce faire son quatre heure. Tous les jours à seize et treize minutes, je vous évite les secondes, son ventre lâchait un cri de faim que l’on pouvait entendre à … deux centimètres de son ventre. Ouaiis, on s’en fout bis. Sur le chemin, elle mâcha son chewing-gum avec entrain, limite audible pour les passants ayant l’ouïe fine. Mais alors qu’elle marchait telle une bad girl, faisant genre et tout, et soudain devant ses yeux … le LAPIN qui se faisait courser pas par un … mais par une petite bande de chasseur apparemment envieux d’attraper Coco Lapin qui courait comme il pouvait, c'était étrange mais la c'était plutôt le lapin qui allait se faire buter. Et soudain, la demoiselle se mit à chantonner la petite chanson et repartit faire son tour dans les rues. Pendant quatre petites minutes, elle eut le temps jeter son truc masticable et d’enlever la papier d’un sucette en évitant de tomber messieurs dames, cependant entrain de se faire le bonbon, elle se cogna qui aurait cru qu’elle y échapperait ! Vous ? Pas moi ! Etant une grande habituée du cognage instantané, elle se stoppa, sur le coup, elle recule même un peu. Sans réfléchir Kao’ donna un joli coup de pied, avec un peu de force, dans ce qu’elle croyait être un poteau truc dans le genre. C’était bizarre d’habitude ça lui faisait plus mal, nan elle n’est pas maso. Kaori retire la sucette de sa bouche, faisant le bruit d’un bouchon qu’on retire d’une bouteille.

« Han ! Désolééée ! Je croyais que c’était un poteau ! Comme j'ai l'habitude de me les prendre, je leur rend leurs coups... » Sympa ! Elle plissa légèrement les yeux sur le pauvre jeune qui venait de se faire taper dessus sans rien demander « Han nan ! Pas possible ! T’es le lapin qui se faisait courser par les chasseurs » Genre elle est pas dans son délire, elle tourna légèrement la tête pour voir si les garçons étaient derrière lui « T'es plus suivit Coco Lapin, t'inquiètes ! Han mais ! [Le troisième quand même] Toi ! Je t’ai déjà vu quelques part j’en suis sûr ! Naaan … » Elle plaque les mains sur bouche. Et la elle ne dit plus rien, ouahou miracle. Lui, dans son lycée, cette classe, la 3-D, elle était sûre ! Mais il était amoché le pauvre. Alors elle retira une mains, piocha dans sa poche pour prendre un kleenex et lui tendit, toujours émerveillée.

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Que faire d’autre que continuer à courir pour sauver sa peau je vous le demande? Rien, vous avez bien raison. Ce pourquoi, très intelligemment, Kiyo ne s’arrêtait pas de courir, slaloment entre les passants, s’amusant à tourner en rond parfois, juste pour emmerder un peu plus ces ploucs qui, il fallait au moins leur donner ça, étaient tenaces.

Passant à toute vitesse à un carrefour où il cru vaguement reconnaître l’uniforme féminin de son lycée, Kiyosuke poursuivit tout de même sa route sans ralentir, un léger sourire sur les lèvres. Comme si ces types pouvaient intimider Sawada, même avec une lèvre fendue! Il avait déjà connu pire et probablement qu’il aurait d’autres emmerdes également à l’avenir.

Enfin bref, ne parlons pas du passé ou même du futur, concentrons-nous sur l’instant présent. L’instant où Kiyo venait tout juste d’éviter, avec brio, un skateboard et le gamin qui venait avec. **Ah, Kiki t’es le plus fort! ** Merci conscience. Seulement voilà, pour éviter le skateboard, Kiyo avait du bifurquer dans une petite ruelle. Chiotte, une clôture. Kiyo n’aimait pas les clôtures depuis le jour fatidique où il s’y était écraser les roubignoles. Si le pauvre homme n’avait pas d’enfant dans le futur, ce serait bien à cause de ce triste jour…
Mais il ne pouvait pas non plus rebrousser chemin, passer la clôture était la seule solution. Alors au tout dernier moment, celui où on ne touchait plus au sol, où il était trop tard pour reculer, Kiyo avait fermé les yeux dans une petite grimace d’appréhension, mais rien ne vint. Yatta! Il avait vaincu la méchante clôture!! Seulement… au hurlement qui avait suivit derrière lui, Kiyo n’était pas le seul dont la descendance était peut-être en jeu. Pauvre homme, sache que Kiyo compatissait même s’il venait de pousser un petit rire moqueur.

Une bonne chose, il venait de se débarrasser de ses poursuivants, où du moins il le croyait, puisqu’ils ne semblaient plus le suivre, du moins pour le moment. Peut-être qu’ils se mettraient à sa recherche une fois le trauma de l’émasculé passé, mais rien n’était sûr. Et puis, si Kiyo les avait eu une fois, il les aurait une seconde fois! =p
Ralentissant son allure, le jeune homme se permit de souffler un peu question de reprendre une respiration normale puisqu’elle était quand même un peu chamboulée par ce jogging imprévu.

Et puis là, alors qu’il était enfin tranquille, pouf! Une masse non identifiée le percuta. Baissant la tête, Kiyo vit une fille. Une fille qui…

-Itta!

Qui le frappait? O_o. Oui oui, elle venait de lui filer un coup de pied, comme ça, sans raison. Enfin oui, elle semblait contrariée par la collision, mais était-ce réellement une raison pour taper se pauvre Kiyo qui avait déjà suffisamment souffert pour aujourd’hui? Lui, il était tenté de répondre non à cette question, bien entendu.
Elle l’avait pris pour un poteau? De mieux en mieux. Après punching-ball, Kiyo devenait poteau! Un grand avenir ce Kiki, n’est-il pas? Il pouvait faire tout un tas de trucs! *o*

-Je ressemble à un poteau alors… Bien… Je prends note.

Fit-il de manière toute à fait ironique, mais où l’on pouvait déceler sans problème un ton de plaisanterie. Après tout, ce n’était pas comme si un petit coup de pied dans les cannes allait le tuer hein.

-Lapin?

Là, il fallait bien admettre que Kiki était largué… Après punching-ball et poteau, ajoutons lapin à liste des choses que Kiyo pouvait être. Pfiou, parti comme c’était… il serait beaucoup de chose avant la fin de la journée!
Il n’état plus suivit? … Ah l’uniforme féminin de son bahut de tout à l’heure, c’était elle! D’accord d’accord, lui moins largué même si le lapin restait un mystère. Et d’un petit regard derrière lui, il vit que, en effet, la voie était toujours libre. Bien bien, pas que courir n’était pas marrant mais… en fait ouais, c’était tout à fait ça, ce n’était pas marrant du tout!

-Uh?

Décidément cette fille alimentait la surprise ou alors Kiki avait reçu un coup de trop sur la tête tout à l’heure et sa cervelle ne marchait plus correctement.

-Ah ça… Bha si tu prends un instant pour observer, tu verras qu’on porte le même uniforme… ‘fin à peu de choses près… Les jupes ça me va pas en fait.

Trop élégant pour lui en fait =p

N’avait t on pas l’impression de voir la douceur ambulante lorsqu’on regardait Kaori marcher, souvent c’était le premier effet qu’elle faisait quand elle se comportait convenablement. Ou alors il suffisait de regarder son visage sourire et la … et la on voyait une dent qui partait de travers et on sourit parce qu’on trouve ça mignon ou alors on se dit qu’elle doit pas connaître le dentiste et se faire remettre la dent en place x__x. Meuuh si qu’elle connaît c’est juste qu’elle connaît pas le numéro … bref ! Soudainement la douce et jolie Kaori , était devenue la brute et jolie Kaori, oui jolie ça change pas, sinon my god. Doonc, elle avait frappé un pauvre inconnu qui n’avait rien demandé et qui en plus c’était déjà fait tabasser avant, elle était forte ! Si elle voulait elle pouvait l’achever è__é, or elle était trop gentille pour faire du mal à une mouche, encore que les moustiques si ils sont chiants elle va pas se gêner ! En gros si on la cherche pas, elle frappe pas c’est tout ! Le jeune se mit à parler, juste après son cri de douleur, elle savait faire mal mouhaha ! Mais ce qui marqua le plus la Shizuku fut quand il releva « Lapin? Oo » petit être bouffant des carottes, avec de longues dents, tantôt blanc, tantôt gris et blanc, tantôt, bref on va pas faire tous les pelages. Alors évidemment, elle émit un petit rire et pour dire une connerie pas drôle, elle ajouta.

« Manque plus que les deux oreilles, la carotte, quoi que encore ça .. » Elle remonta son regard qui était redescendu, perverse la Kao’ naaon, juste un peu l’esprit mal tourné, rien de plus « Le costume blanc ou comme tu veux ! Ch’ui sûr qu’on ferait même plus différence entre toi en Bug's Bunny <3! »

Avec un gros lapin en peluche ouais ! Ou alors le lapin il a été croisé avec l’homme … Kao’ arrête de penser >< ! Mais penser, tout ce qu’elle pense franchit souvent la barrière de ses lèvres sauf quand elle pense que ça ne vaut pas le coup, sinon c’est limite un automatisme ! Pour le plus grand malheur de certaines personnes, en gros celle qui sont obligés de la supporter à longueur de journées. Elle affichait encore son sourire ravi, pourtant il n’y pas de quoi l’être. Au final la nipponne avait l’impression de trop parler, ouais mais pour une fois qu’elle s’en rend compte on peut pas lui en vouloir. La preuve elle sentait qu’il ne comprenait pas tout. Et puis le garçon se mit de nouveau à parler « Ah ça… Bha si tu prends un instant pour observer, tu verras qu’on porte le même uniforme… ‘fin à peu de choses près… Les jupes ça me va pas en fait. » C’était pas con ça ! Alors elle prit quelques secondes pour observer et elle lâcha :

« Haa ouaiiis ! Pas faux ! Mais euuh ! J’avais remarqué je parlais pas de ça ! Ta tête, je parle ! Et si tu peux on peut échanger la jupe, ça tirait comme un ga… nan en fait oublie ce que je viens de dire x__x. »

Geenre, la menteuse, y a encore deux secondes elle avais pas remarqué qu’ils avaient cette chose en commun. Il se serait tut elle serait restée dans l’ignorance la plus totale et ouais ! En plus, l’asiatique était familière, ben t’façon, elle venait de se souvenir de qui c’était.

« Youuu ! T’es pas dans la … 3-D ?! »

Fit elle en plissant les yeux ! Elle en était sûre ! Elle était directe mais Kaori savait qu’elle avait raison, elle en mettrait sa main au feu, nan elle n’était pas maso ! ‘Fin p’têtre qui sait ! Mais sur elle avait dit ça, avec comme dans la violence dans la voix ! Et sa main était repartit tout aussi violemment en avant, et sa sucette partit tout droit, et qui c’est que y a devant ? Le lapin ! La sucrerie était restée collée sur le haut du bonhomme, baaah ! Seulement sur le coup Kao’ se mit à rire, un rire enfantin, elle avait sa main devant sa bouche et l’autre était partie à la recherche du bâtonnet en plastique et elle tira d’un coup sec quand elle le tint.

« Hoo..hoo ! Désolée ! »

Voyait comme les premières rencontres de Kaori, la pas douée, était toujours aussi charmantes, il fallait le truc qui fasse que. Certaines personnes étaient indulgentes mais c’était évidemment une minorité. Les autres, elle se prenait un vent ou « Tu crains », ouaiiis !

« Oh fait Lapin ou poteau, comme tu veux, ce qui te convient le plus ! » Elle tendit une main, celle sans la sucette « My name is Kaori ! ou Kao’ même évite Kaka’ si tu vois ce que je veux dire x___x »

Mais tais toi ! Tu dis ton prénom c’est tout ! >< Elle avait parler anglais comme une parfaite japonaise, avec un accent horriblement merdique xD !

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