Junko Kimura
Nombre de messages : 10 Age : 34 Love : Celui qui ne me regarde pas Date d'inscription : 09/11/2008
| Sujet: Junko Kimura [Fini!! ^^] Dim 9 Nov - 22:49 | |
| [Junko Kimura]Nom: Kimura Prénom: Junko Surnom(s): Jun' Age: 18 ans Groupe: 3-A ¤¤¤ Caractère: Alors? Comment décrire notre miss Jun'? Tout d'abord, et c'est sûrement le point le plus important à noter, c'est une fille extravertie. Une grande bouche quoi, et qui n'aura jamais peur de s'en servir. La plupart des personnes ne la connaissant pas pourraient la trouver arrogante; Mais c'est vraiment s'ils n'ont pas le temps de la connaître. Car si l'on va un peu plus loin que son charisme assez avancé on voit en réalité que ce n'est pas de la prétention où de la simple "trop franchise" c'est plutôt un caractère naturel et gentil. Et oui! Junko à, a vrai dire, toujours fait peur au garçon, du fait de son caractère trop enflammé! Et hélas! Elle n'est pourtant qu'une fille vivante qui sait profiter de la vie et qui ne s'arrête pas sur des pensées "Est ce que ce que je vais lui dire va le choquer?" Bien sûr, les préjugés sur son soit disant caractère "arrogant" ne se sont pas basés sur rien; Non pas qu'elle le soit, non, mais disons plutôt qu'elle parle facilement à la place des autres. C'est un faite, Junko à une personnalité écrasante, qui aime s'étaler et aime être remarqué sans pour autant bazarder tout le monde. Ce qui est étonnant, c'est que si vous lui faite remarquer, non pas seulement comment elle peut parler fort mais aussi s'imposer d'un pas bien lourd dans une conversation, elle rira d'elle et s'excusera, car, même si elle aime avoir l’attention sur elle, parfois elle se trouve elle même déplacée. Pour résumer donc cette toute première partie-personalité, il est clair et très simple de dire qu'au final, que Jun' est une fille pleine de vie, qui parle beaucoup, fort, à tout le monde, qui à le sens de la communication et aucun gêne, sans pourtant être bêta en retour... En effet, et ceci conclura sa personnalité, la deuxième partie, la miss joue en réalité un véritable rôle. Comme vous le verrez par la suite la jeune fille à d'énormes tensions familiales qui la détruise totalement à l'intérieur et qui, en même temps, la pousse à montrer sous un autre jour. Jouer ce rôle au lycée, après tout, ce n'est qu'un moyen de se voiler la face pour elle, montrer que c'est une dure et une rigolote forte et toujours joyeuse. Mais essayez donc de gratter un peu... Car au final Jun' n'est qu'une fille malheureuse qui tente d'oublier ses problèmes en faisant n'importe quoi au bahut. Sa véritable personnalité? Une petite fille (c'est une image bien sûr ^^) repliée sur elle même, triste qui appelle à l'aide. Physique: Notre Jun', tout d'abord, est dotée d'une peau très pâle, telle Blanche Neige; d'ailleurs, elle ne s'aime pas trop ainsi et met souvent une légère couche de font de teint pour passer plus inaperçue; Mais passons! Ses lèvres sont bien jolies, bien ronde, et, fort heureusement, de la même couleur que tout le monde; et pourtant, elle ne les aime pas tellement non plus! Elle met donc souvent du rouge à lèvre, le plus souvent rosé voir violet. Eh oui, la jeune nippone est une difficile car au final, elle ne se trouve pas si moche, vraiment, mais elle changerait bien certaines choses. Tout n'est malheureusement pas changeable ou plutôt pas dans ses moyens... D'ailleurs! Parlons de ses cheveux. Je vous laisser deviner... Bravo! Elle ne les aime pas non plus. Du moins, aimait; Car elle se les ai teint! Noir à l'origine ils varient maintenant selon son humeur entre châtains très clair et bruns. Quant à ses yeux, et bien vous aller être surpris... C'est bien la seule chose chez elle qu'elle accepte,et qu'elle laisse à leur juste valeur, c'est à dire, de couleurs noisette. Pour résumer, Junko à: Le visage pâle, les lèvres normales, les yeux marrons, et des cheveux qu'elle teint souvent. Mais pourquoi ne pas descendre plus bas? Gratter un peu plus? Peu de personnes s'y aventure, autant parce qu'on ne déshabille pas une jeune fille comme cela mais surtout par ce que même niveau personnalité, les gens, en général, se fichent éperdument de vous. Pourtant, si quelques proches de Junko avaient prit le temps de la découvrir, peu, voir même très peu connaissaient ses marques, qui ornaient son corps. Ces tâches bleus, voir violettes ou jaune, des tâches qui vont et qui viennent, qui change d'endroit, et pourtant, qui ne sont jamais sur son visage. Au maximum une ou deux timides se montrent dans le cou, mais en dehors de cela, jamais, vraiment jamais, Junko ne laisse apparaître ce qu'elle considère comme son grand et terrible secret. Avatar: Boa Known ¤¤¤ Histoire:Tout à commencé il a dix huit ans de cela, dans une petite clinique du Japon ou Ayumi, la mère de Jun', lui donna vie. Jun' ne s'en souvient pas bien sûr, mais c'était sûrement le moment où sa mère à ressentit le plus de bonheur dans sa vie. Accompagnée de son mari, Keiichiro, elle observe sa petite fille, son unique petite fille, son miracle. En effet, Ayumi avait été déclarée stérile il y avait cinq ans de cela, à la suite d'un examen que son médecin lui avait fait passer quand elle s'était rendu compte qu'elle n'arrivait pas à tomber enceinte; Cela avait été un gros choque pour elle, psychologiquement. Mais c'était ainsi, quatre ans plus tard, la madame n'avait pas eût son "cycle menstruel"... Les médecins parlaient alors d'un miracle. Et ce miracle, c'était simplement Junko. Ses parents étaient aux anges. Cinq ans ont passés. Papa et maman crient, mais c'est papa qui crie le plus fort: Je ne comprends rien à ce qu'ils disent, parfois ça n'a pas de sens. Il y a juste ce mot qui revient sans arrêt, le boulot...Qu'y a t-il avec "le boulot"? Est une raison de crier autant? Maman pleure et je me sens très triste. Je ne supporte pas de voir pleurer maman. Papa m'énerve beaucoup à crier autant car lui n'a pas l'air malheureux et même si c'était le cas ça ne serait pas si grave car je ne l'ai jamais beaucoup vu à cause de ses longues journées. J’entends des bruits sourds à travers la porte et maman qui crie, alors je vais pleurer dans ma chambre et j'attend. Dix ans se sont passés depuis ma naissance et je ne crois pas avoir connu beaucoup de bonheur dans ma vie, du moins, pas assez pour que je m'en souvienne. Maman et papa ne sont jamais d'accord et maman parle toujours de partir même si elle ne le fait pas. Mais comme elle le dit, papa la frappe; Et comme moi je pleure, il me frappe aussi. Maman me protège beaucoup mais je préfère prendre à sa place. Comme je l'ai souvent vu prendre des coups, m'en prendre moi même ne m'a plus choqué à partir de la deuxième fois. Je ne pense pas que c'est ainsi dans toutes les maisons alors je n'ose pas en parler à mes copines de l'école. Les professeurs voient mes quelques marques visibles mais ne disent rien. Mais ce qui est sûr, c'est que mon présent ne me plaît pas. Dix huit ans. Toujours le même bordel. Mon père, si je peux l'appeler ainsi frappe toujours ma mère qui n'ose pas partir. Elle me dit que c'est parce qu'elle sait que ça va s'arranger mais c'est des foutaises; Je l'ai entendu l'autre soir qui lui disait que si elle osait partir avec moi il nous retrouverait et nous tuerait. Le dénoncer? Ne me faite pas rire. Devinez la profession de ce cher Keiichiro: agent de police. Maman a déjà essayé d'aller au poste mais tous connaissant bien Keiichiro s'étaient moqué d'elle en disant que c'était impossible. Ces idiots n'y connaissaient vraiment rien. Alors mon sois disant père continu, autant sur ma mère que sur moi; je lui ferais bien face mais je n'en ai ni le courage ni la force, même si j'ai une haine incomparable envers lui. Plutôt que de me servir de cette haine pour me retourner contre lui malheureusement et me détruit, se mutant en tristesse qui me bouffe un peu chaque jour. Je n'arrive pas à en parler aux gens autour de moi, et même si les rares personnes à qui je l'ai dis on proposé de m'héberger en attendant de trouver une solution, jamais, je ne partirai sans maman, jamais. Bien sûr que ce n'est pas facile de faire bonne figure tous les jours au lycée, mais pourtant, je me débrouille... Il le faut. Relations: Elle considère Kana comme une petite soeur, vu qu'elle est en première année. Elle est assez paternaliste avec elle même si elle l'engage parfois à faire n'importe quoi! Elles sont très proches et partage beaucoup de choses.. ¤¤¤ Exemple de post: [Un vieux poste que j'ai écris il y a environ trois mois de celà sur un autre forum avec comme principe: Etre collégien/lycéen à Poudlard. J'y incarne une jeune japonaise de onze ans, Suki, qui a imigré en Angleterre et qui y fait ses études. Elle est très attachée à un denommé Kyoschiro qui est le préfet de sa maison mais qui ne l'apprécie pas. Son père vient de décéder donc le sujet se déroule dans un cimetière.] ¤¤¤ - Spoiler:
Dans ses confessions, Suki n'avait pas vraiment fait attention aux gens qui l'entouraient. Après tout, normalement, toute personne étant présentes ici avait perdu quelqu'un, sinon que ferait elle dans un cimetière, surtout dans celui quoi, ce n'est pas comme si une rock star y était enterrée. De cette manière, la jeune fille n'avait pas prêter attention aux passants, car après tout s'ils étaient là, c'est qu'ils pouvaient bien comprendre ce que ressentait la petite fille, et puis après tout, qui pourrait se moquer de quelqu'un qui parle à une tombe? Il n'était pas difficile d'imaginer la peine que l'on pouvait ressentir à la mort d'un proche.
La Serdaigle s'en souvenait parfaitement. Il y a un an, a cette période de l'année, la jeune s'en allait pour voir sa chouette, car elle n'avait pas reçue comme à l'habitude du lundi, une lettre de ses parents. Espérant alors qu'elle se soit arrêté à la volière, elle avait alors trouvée la lettre tragique de sa mère annonçant la nouvelle. Suki n'y avait pas tout de suite cru. Elle s'était assise et avait réfléchit. Et, par la suite, elle avait pleurée. Par chance deux de ses amis étaient passés par là et l'avaient réconfortée au mieux. Il n'empêcha pas cette semaine de misère où elle n'était pas sortit. Comme une petite fille si innocente pouvait elle subir ça, à son âge? Le destin avait cruel avec elle et rien que cette semaine, elle avait perdu le goût de vivre. Guérissant finalement, elle avait reprit les cours, mais n'était plus motivée. Il avait neigé le jour où elle avait reçue cette lettre. Et le temps d'aujourd’hui était bien blanc, une vrai tombée se préparait. La preuve que toute chose pouvait être symbolique, et désormais, la neige représentait à la fois une mauvaise nouvelle et la mort, car en Asie c'était la blanc qui la caractérisait, remarque, tout comme le repos.
Ayant un peu mal aux genoux, elle se mit en tailleur, observant l'image de son père actuel. Rien qu'une tombe de marbre, gros foncé. Quelle triste image pour de si bons souvenirs. Les cimetières anglais n’étaient décidemment pas beaux. La jeune fille se dit qu'elle ferait une note dans son testament pour préciser qu'a sa mort, on l'enterre au Japon. Au moins elle serait chez elle.
Tranquille et nostalgique, la gamine semblait à cet instant plus grande, du moins dans sa tête, pas extérieurement. C'était bien là la seule chose qu'avait apportée la mort de son père, un peu de maturité. Oh bien sûr, on ne pouvait pas la voir, car Suki la gardait précieusement en elle, mais tout de même, elle n'était pas aussi "jeune dans sa tête" qu'on pouvait le croire. Elle aimait juste être comme elle est, libre et profitant de la vie. Si elle avait tenue à un décès, elle tiendrait à tout, du moins, c'est ce qu'elle pensait... Pourtant n'importe qui d'extérieur et la connaissant bien aurait pu dire qu'elle n'était pas remise; et c'était vraie; elle gardait toujours cette tristesse en elle, mais franchement, n'était ce pas normal? On ne guérissait jamais de la perte d'un proche, sauf rare exception. Evidemment, Suki étant la petite fille la plus joyeuse d'Angleterre, on aurait pu se dire que ça serait le cas, mais non, pas encore.
Plongée dans ses pensées, elle fut "réveillée" par la sensation d'une présence pas loin derrière. Elle l'avait sentit d'avant mais pensait que cette personne allait partir. Apparemment elle restait là. Peut être que la tombe qu'elle venait voir était juste en face de celle du père de Suki? Rah non, ce n'était pas ça. La jeune fille se sentait fixée. Elle aurait pu se retourner, mais fut prise un instant de la peur que ce soit sa mère, qui l'aurait rejointe après sa réunion. Dans ce cas là, elle ferait mieux de faire comme si elle ne l'avait pas vu, sinon, elle comprendrait son gêne. La petite fille n'aimait pas vraiment que sa mère l'entende parler à son père intimement, après tout, chacun ses secrets non? Et puis surtout que la Serdaigle ne parlai pas de la même façon à ses parents. Innocemment elle dit;
-Enfin bon, tu comprends... Ce n'est pas comme si j'en parlais à maman, pas comme ça, comme avec toi...
Peut être cela allait il "chasser" maman de là, la faisait revenir pus bruyamment pour montrer sa présence. Mais ce ne fut pas le cas. N'osant même plus bouger, Suki, soupirant dans l'air glacé, un fumée blanche sortant de sa bouche, elle se dit que ce n'était pas vraiment la peine de paniquer, que personne ne pouvait lui faire quoi que ce soit dans un cimetière (elle imaginait déjà un pervers). Peut être était ce simplement des vieilles personnes qui se demandaient si elle n'était pas perdue. "Pour savoir, il faut voir". Elle réussit à tourner la tête, se tournant un peu elle même, les mains au sol.
Et ce fut Kyoschiro. Pas loin, statique, et ayant une sorte de grimace à la bouche, il était là. La miss n'en croyait pas ses yeux. Que faisait il là? Connaissait il quelqu’un qui était décédé? Sûrement l'avait il reconnu, et la question était alors, pourquoi ne courrait il pas pour l'éviter? La Serdaigle croyait savoir qu'il n'aimait pas vraiment sa présence. Mine de rien, elle fut contente de le voir, comme toujours. Ca aurait pu être n'importe qui d'autre, mais non, c'était lui, et il la regardait. La miss se leva, époussetant les saleté qu'elle pouvait avoir sur elle s'étant assise par terre et s'approcha de son préfet. Elle était polie, elle n'allait pas l'ignorer, même si elle n'en avait jamais eût l'intention. Et puis, le voir à ce moment ci lui faisait quand même plaisir. Il signifiait à lui tout seul un passage entre avant - et maintenant. Sa parole glissant dans le froid, elle lui dit doucement;
-Que fais tu là Kyo kun?
¤¤¤ Votre pseudo: Chaou Votre âge: 17 ans Votre impression du forum: Design très impressionant Quelque chose à ajouter, améliorer ? Pas pour l'instant! Fréquence de connexion: 3/7
Dernière édition par Junko Kimura le Mar 11 Nov - 22:42, édité 3 fois | |
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